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    QUE FAIRE ENCORE… ? ET AVEC QUI ?

    «  VA TROUVER MES FRERES ET DIS- LEUR…! » (Jean, 20,17)
     
    Celui que ses compatriotes aiment bien appeler « le Professeur Albert Tevoedjre », préfère qu’on le désigne autrement.Depuis qu’il a exercé  pour l’ONU la fonction de Médiateur en Cote d’Ivoire et qu’un  un livre de Venance  Konan   paru  à la fin de cette mission porte le titre « Un frère parmi nous », Albert Tevoedjre   donne préférence  à une autre appellation : « Frère Melchior »

    ! Melchior en souvenir du fondateur  de l’Institut missionnaire –la Société des Missions Africaines (SMA) - qui l’a formé et sur lequel il ne tarit pas de fidèle hommage.  L’éducation reçue  fit de  l’enfant issu des profondeurs africaines un chrétien qui rend grâce  d’être  devenu plusieurs fois  membre du gouvernement de son pays , instrument fondateur du « Contrat de solidarité », Professeur associé de Science politique à l’Université de Paris –Sorbonne, invité à l’Académie des sciences morales et politiques, qui se retrouve aux côtés de Stéphane Hessel, grande figure française du combat pour la liberté et les droits humains pour recevoir  le 22 Mai 2013 à l’UNESCO le « Passeport de citoyenneté universelle ».
    Frère Melchior s’étonne souvent de l’accueil fait à son livre « La pauvreté, richesse des peuples, grâce à la  lucide générosité  de l’Abbé Pierre. Il s’étonne encore que le nom d’un enfant  des paysans d’Adjati  ait pu être retenu  par HEC  -Montréal comme  un cas de  leadership  méritant attention (Cas no 9402004038 –« Un africain d’exception »)… Et que le Centre des Affaires internationales de l’Université Harvard  ait donné crédit à ses efforts relatés dans « Panafricanism in action »
    L’action de grâce  se poursuit quand il se voit invité à Rome  en 1987 comme auditeur et rapporteur au  Synode des Evêques sur la vocation des laics,  alors qu’il assumait les fonctions de directeur général adjoint du Bureau International du  Travail (BIT) et directeur de l’Institut International d’Etudes sociales.
    C’est de cette expérience  que la Providence  veut sans doute faire bénéficier un plus grand nombre en permettant l’éclosion d’une pédagogie, l’apparition d’une boussole d’espérance  à travers                  «  L’initiative africaine d’éducation à la paix et au développement par le dialogue interreligieux et interculturel »  Un mouvement pour la paix par un autre chemin, le chemin de l’agir ensemble pour le développement au nom des valeurs de la « conscience en action »
    Le temps est venu de découvrir ensemble que le développement est en vérité  le nouveau nom de la paix !

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